L'homme, s'il n'apprend pas, ne sait que faire des matériaux avec lesquels s'édifie la hutte la plus rudimentaire. Il ne sait pas d'instinct fabriquer un outil, allumer du feu. Il faut même lui apprendre à marcher. Citation de Samuel Clarke
EDUCATION POUR TOUS
Une culture c'est l'ensemble des formes acquises de comportement d'un groupe d'individus unis par une tradition commune, transmise par l'éducation.
Connaissant que l'éducation que l'on donne d'ordinaire aux gens est un second amour-propre qu'on leur inspire. De ce fait, on droit prioriser l’éducation sous toute forme parce que l’éducation est une affaire de tous, tout être avoir accompli l’âge d’utiliser leur compréhension doit franchir la barrière du savoir, quelques soit sa race, sa couleur ou son identité.
Notre objectif est de:
a) Promouvoir l’éducation pour tous sans distinction ni préjugée
Il paraît très flouant l’éducation en Haïti, c’est une affaire noble. Ici, l’accès à l’éducation est l’affaire du plus capable économiquement, et le reste s’accroche aux Collèges Petits Démêlés (petites écoles sans infrastructures ni professeurs qualifiés). Mezi lajanw mezi wangaw dit-il un proverbe créole, si vous avez de l’argent votre enfant fréquentera un établissement scolaire précieux et spacieux, digne, confortable et agréable et il reçoit une éducation de classe. Ce dernier est devenu automatiquement prétentieux envers les autres écoliers qui ne fréquentent pas de grandes écoles.
Si on constate bien, en Haïti on a beaucoup d’établissement scolaire national ou privé mais chacun a adopté son propre programme de fonctionnement. Que dit-il le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) ? Rien peut-être !
Aux évaluations des examens officiels, le MENFP est le seul à décider aux choix des examens pour les écoliers qui vont subir les épreuves officiels de fin d’études. Comment voulions nous que les résultats de ces examens ne soient pas catastrophiques si chaque écolier a reçu une formation différente et le choix des examens sont identiques et obligatoires à tous? Bref !
· Nos suggestions et solutions
Que l’Etat analyse et constate sa faiblesse au niveau de l’éducation qu’il donne aux enfants si vraiment on veut avoir des résultats escomptés à la formation des écoliers/étudiants et aux examens officiels.
Que l’Etat envoie des superviseurs sérieux à la supervision des établissements scolaires sur tout le territoire du pays afin d’enquêter sur les modules et les programmes de formations que ces établissements repartissent. Du même coup, qu’Il organise des séances de recyclage pour les professeurs et les directeurs d’écoles de ces zones d’où la compétence est faible.
Que l’Etat rédiger un prospectus pour toutes les écoles d’Haïti, afin qu’elles puissent avoir un seul programme. Si on respecte ces prérogatives, certainement les résultats de fin d’année pourront améliorer.
- Qu’est-ce que tout cela dit à l’organisation POU AYITI?
Avant même de nous prononcer sur ce fait, on peut conseiller d’abord les administrateurs étatiques concernés à utiliser des ressources internes (étudiants stagiaires de l’Ecole Normale Sup. et de la Faculté des Sciences Humaines) pour freiner ce mécontentement aux résultats des examens officiels du pays. On peut les utiliser comme des suppléants aux directions des écoles publiques et/ou privés.
- Notre travaille dans l’amélioration de l’éducation en Haïti est axé sur trois (3) point :
Premièrement :
Promouvoir la formation continue des professeurs sur des méthodes adaptées à un bon enseignement suivant les théoriciens du nouveau millénaire, Piaget, Bloom etc. pour ne pas citer que ces deux. Etablir une relation entre notre organisation avec l’INFP – MENFP afin de nous faciliter et/ou subventionner ce programme de formation des formateurs. Et augmenter les agents de supervision ou les inspecteurs afin que ce programme de formation puisse toucher toutes les écoles du pays.
Deuxièmement :
POU AYITI élaborera des projets pour qu’on puisse avoir au moins un (1) ou deux (2) laboratoires informatiques dans chaque école et une bibliothèque soit virtuelle permettant la recherche aux technologies nouvelles et aux inventions de notre ère.
Troisièmement :
POU AYITI élaborera des projets de cantines scolaires en partenariats avec les instances nationales ou internationales concernées afin d’acheminer un plat chaud par jour pour les écoliers/étudiants. Et dans certaines écoles, on peut offrir des Resto-Ecoles afin que les écoliers/étudiants puissent acheter à meilleur prix. Pourquoi tout cela ? C’est tout simple, l’écolier/l’étudiant ne peut pas s’assoir pendant plusieurs heures de cours en écoutant avec attention les profs et en participant activement dans les cours pour ne pas avoir restauré, comment va-t-il faire pour mémoriser toutes ces séances.
b) Orientation professionnelle et Education continue
On est tous pas né pour être médecin, docteur, ingénieur, professeur, comptable etc. En Haïti assez souvent ce sont les parents qui choisissent un métier ou une carrière universitaire pour leur enfant. Parfois le sujet ne peut même pas opiner sur le choix que les parents lui fassent, tout cela arrive par la faute de nos établissements scolaires ou du Ministère Education Nationale. Aucun établissement scolaire en Haïti ne vise pas ce grave problème qu’occasionnait des diplômés mécontents par qu’ils n’aiment pas vraiment la carrière qu’ils étudient.
Si on applique l’orientation professionnelle des étudiants/écoliers d’Haïti, on aura des cadres compétents dans nos institutions, donc ils travaillent avec aisance et amour pour leur métier.
POU AYITI travaillera sur la planification d’un document d’orientation professionnelle afin de l’offrir aux instances concernées.
Pour l’éducation continue,
Combien de jeunes filles et jeunes garçons qui terminent leur étude ou qui ne termine pas leur étude classique qui ne fréquentent jamais une université ou un centre de formation professionnelle. Certains d’entre eux n’ont pas de moyen économique suffisant, certains d’autres veulent rentrer directement à l’université pour être agronome, ingénieur ou docteur etc.
Ils ne visent que ces titres-là, tandis qu’ils peuvent être bien un Technicien Agricole – Technicien en Plomberie – Mécanique Auto - Electricité et en Couture etc. en deux (2) années d’études que cinq (5) années à l’université peut être inachevées pour le manque de moyens économiques.
Il est l’heure pour qu’on puisse laisser nos ignorances, nos préjugés, notre allure prétentieuse afin de promouvoir les métiers technico professionnels.
- Il faut avoir des cours technique dans les lycées et les écoles nationales, des cours techniques pour la jeunesse dans des quartiers populaires, là où ils n’ont pas de moyens ou ils ne sont pas fréquentables.
La moitié des projets de POU AYITI seront en leur faveur, nous sommes à la recherche des bourses d’études complètes et des demi-bourses pour ce qui sont assoiffés le pain de l’éducation afin de divorcer avec le chômage et embrasser une meilleure vie. Sachons bien que nous avons une jeunesse à éduquer, si on occupe la majeure partie de leur temps en les donnant l’éducation, ils ne mêlent points aux actes banditismes encore moins aux délinquances juvéniles, ni vols, ni viols.
Les potentiels sont là, on doit juste les identifier et les faire appliquer.
Prenons le cas des industriels du pays, ils peuvent tous contribuer pour un fond commun afin d’ouvrir des écoles professionnelles de hautes technologies et les bénéficiaires deviendront en deux (2) ou trois (3) ans des techniciens qui vont être embauchés pour servir leur même entreprise. Et les bailleurs/supporteurs de ces écoles profiteront de ces professionnelles sans avoir embauchés des expatriés qui couteraient beaucoup plus chers que la formation de cent (100) jeunes au minimum.
Prenons le cas d’INFOTEP, un centre technico professionnel en République Dominicaine, cette école s’établit sur tout le territoire dominicain et disponible pour tous ceux qui veulent apprendre un métier et même les étrangers ont accès à ces centres de formation professionnelle.
c) L’éducation et la réinsertion sociale des prisonniers
Haïti est membre signataire de l’ONU et de la déclaration de Droit de l’homme.
Il n’y a aucune excuse pour ignorer le droit d’une personne quelques soit son statut. Tout être humain a le droit de jouir les droits fondamentaux. Les prisonniers sont des personnes qui sont en contraventions avec la loi, mais ils restent encore hommes après tout.
La prison doit être un lieu de réorientation pour tous les accusés ou les condamnés. Après avoir purgé une longue période de peine et de correction, l’individu aura la chance de réintégrer la société. Comment va-t-il faire pour intégrer à nouveau cette société sans avoir rien appris pendant cette période d’incarcération, voir comment vivre ces individus-là dans la dignité sans avoir retourné dans les actes qu’on lui est reproché préalablement.
· Nos suggestions et solutions
L’Organisation POU AYITI procédera des visites dans tous les centres d’incarcération du pays afin d’enquêter et de recenser les prisonniers dans un premier temps, et au second lieu de les offrir un programme de formation professionnelle intensive afin qu’ils puissent ré affronter la vie après avoir purgé leur peine.
Promouvoir des jugements ou des suivis de cas en faveur les prisonniers abandonnés qui n’ont jamais présenté au Tribunal Correctionnel ou devant les juges naturels.
On élaborera un projet qui s’intitule ‘’ MWEN CHANJE’’ afin d’orienter ces individus à la société comme un homme nouveau, technicien, un professionnel.
d) Alphabétisation et suivi de formation académique pour les adultes
Appuyer et collaborer au programme d’alphabétisation mis en cours par le MENFP et la Secrétairerie D’Etat de L’Alphabétisation. L’organisation POU AYITI disposera ses membres en volontariat au service des centres d’alphabétisation comme des moniteurs pour aider les intéressés à apprendre à lire et à écrire.
Pour les adultes qui ont laissé l’école depuis bien des années, on va les motiver pour retourner à l’école et promouvoir une forme d’éducation pour eux afin qu’ils continuent à apprendre pour achever leur étude.
UN ARTICLE INTÉRESSANT SUR L'EDUCATION POUR TOUS (EPT)
Le concept d'éducation pour tous (E.P.T.) n'est pas sans ambiguïtés. Il s'agit de définir une sorte de menu commun de base sans que cela implique nécessairement une poursuite généralisée des études les plus longues. Certains pays préconisent une vision réduite et assimilent l'éducation de base à l'éducation primaire ; d'autres y incluent le premier cycle de l'enseignement secondaire ; d'autres y incluent l'éducation pré-primaire (l'Unicef en particulier y accorde une grande priorité) ; d'autres enfin y incluent l'alphabétisation des adultes. Cette multiplicité de conceptions rend difficile toute démarche d'évaluation. La définition pragmatique qui tend à l'emporter aujourd'hui s'en tient à une éducation primaire pour tous.
En outre, aucun indicateur ne donne la probabilité exacte pour un enfant aujourd'hui d'avoir accès à l'enseignement primaire et d'achever le cycle (cinq années d'études sont généralement nécessaires à une alphabétisation durable). Cet indicateur serait obtenu en multipliant le taux net d'accès par le taux de survie à cinq ans, mais aucun des deux n'est aujourd'hui disponible en moyenne pondérée. Les taux de scolarisation brut et net, quant à eux, indiquent la part des enfants scolarisés à un moment donné, mais ni l'un ni l'autre ne sont réellement satisfaisants lorsque les systèmes éducatifs accueillent beaucoup d'élèves en retard, ce qui est le cas dans un certain nombre de pays en voie de développement.
Cet article fait le bilan de l'accès à l'éducation dans le monde au début du troisième millénaire. Il s'attache à montrer les inégalités de scolarisation aux différents niveaux de la hiérarchie scolaire, primaire, secondaire et supérieur. Il n'était pas possible ici de décrire la situation des 203 pays pour lesquels l'U.N.E.S.C.O., principale source d'informations, publie des données ; d'où un regroupement en huit régions, qui a pour effet d'atténuer les inégalités entre cas extrêmes.
(Sources: http://www.universalis.fr/encyclopedie/education)
Une culture c'est l'ensemble des formes acquises de comportement d'un groupe d'individus unis par une tradition commune, transmise par l'éducation.
Connaissant que l'éducation que l'on donne d'ordinaire aux gens est un second amour-propre qu'on leur inspire. De ce fait, on droit prioriser l’éducation sous toute forme parce que l’éducation est une affaire de tous, tout être avoir accompli l’âge d’utiliser leur compréhension doit franchir la barrière du savoir, quelques soit sa race, sa couleur ou son identité.
Notre objectif est de:
a) Promouvoir l’éducation pour tous sans distinction ni préjugée
Il paraît très flouant l’éducation en Haïti, c’est une affaire noble. Ici, l’accès à l’éducation est l’affaire du plus capable économiquement, et le reste s’accroche aux Collèges Petits Démêlés (petites écoles sans infrastructures ni professeurs qualifiés). Mezi lajanw mezi wangaw dit-il un proverbe créole, si vous avez de l’argent votre enfant fréquentera un établissement scolaire précieux et spacieux, digne, confortable et agréable et il reçoit une éducation de classe. Ce dernier est devenu automatiquement prétentieux envers les autres écoliers qui ne fréquentent pas de grandes écoles.
Si on constate bien, en Haïti on a beaucoup d’établissement scolaire national ou privé mais chacun a adopté son propre programme de fonctionnement. Que dit-il le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) ? Rien peut-être !
Aux évaluations des examens officiels, le MENFP est le seul à décider aux choix des examens pour les écoliers qui vont subir les épreuves officiels de fin d’études. Comment voulions nous que les résultats de ces examens ne soient pas catastrophiques si chaque écolier a reçu une formation différente et le choix des examens sont identiques et obligatoires à tous? Bref !
· Nos suggestions et solutions
Que l’Etat analyse et constate sa faiblesse au niveau de l’éducation qu’il donne aux enfants si vraiment on veut avoir des résultats escomptés à la formation des écoliers/étudiants et aux examens officiels.
Que l’Etat envoie des superviseurs sérieux à la supervision des établissements scolaires sur tout le territoire du pays afin d’enquêter sur les modules et les programmes de formations que ces établissements repartissent. Du même coup, qu’Il organise des séances de recyclage pour les professeurs et les directeurs d’écoles de ces zones d’où la compétence est faible.
Que l’Etat rédiger un prospectus pour toutes les écoles d’Haïti, afin qu’elles puissent avoir un seul programme. Si on respecte ces prérogatives, certainement les résultats de fin d’année pourront améliorer.
- Qu’est-ce que tout cela dit à l’organisation POU AYITI?
Avant même de nous prononcer sur ce fait, on peut conseiller d’abord les administrateurs étatiques concernés à utiliser des ressources internes (étudiants stagiaires de l’Ecole Normale Sup. et de la Faculté des Sciences Humaines) pour freiner ce mécontentement aux résultats des examens officiels du pays. On peut les utiliser comme des suppléants aux directions des écoles publiques et/ou privés.
- Notre travaille dans l’amélioration de l’éducation en Haïti est axé sur trois (3) point :
Premièrement :
Promouvoir la formation continue des professeurs sur des méthodes adaptées à un bon enseignement suivant les théoriciens du nouveau millénaire, Piaget, Bloom etc. pour ne pas citer que ces deux. Etablir une relation entre notre organisation avec l’INFP – MENFP afin de nous faciliter et/ou subventionner ce programme de formation des formateurs. Et augmenter les agents de supervision ou les inspecteurs afin que ce programme de formation puisse toucher toutes les écoles du pays.
Deuxièmement :
POU AYITI élaborera des projets pour qu’on puisse avoir au moins un (1) ou deux (2) laboratoires informatiques dans chaque école et une bibliothèque soit virtuelle permettant la recherche aux technologies nouvelles et aux inventions de notre ère.
Troisièmement :
POU AYITI élaborera des projets de cantines scolaires en partenariats avec les instances nationales ou internationales concernées afin d’acheminer un plat chaud par jour pour les écoliers/étudiants. Et dans certaines écoles, on peut offrir des Resto-Ecoles afin que les écoliers/étudiants puissent acheter à meilleur prix. Pourquoi tout cela ? C’est tout simple, l’écolier/l’étudiant ne peut pas s’assoir pendant plusieurs heures de cours en écoutant avec attention les profs et en participant activement dans les cours pour ne pas avoir restauré, comment va-t-il faire pour mémoriser toutes ces séances.
b) Orientation professionnelle et Education continue
On est tous pas né pour être médecin, docteur, ingénieur, professeur, comptable etc. En Haïti assez souvent ce sont les parents qui choisissent un métier ou une carrière universitaire pour leur enfant. Parfois le sujet ne peut même pas opiner sur le choix que les parents lui fassent, tout cela arrive par la faute de nos établissements scolaires ou du Ministère Education Nationale. Aucun établissement scolaire en Haïti ne vise pas ce grave problème qu’occasionnait des diplômés mécontents par qu’ils n’aiment pas vraiment la carrière qu’ils étudient.
Si on applique l’orientation professionnelle des étudiants/écoliers d’Haïti, on aura des cadres compétents dans nos institutions, donc ils travaillent avec aisance et amour pour leur métier.
POU AYITI travaillera sur la planification d’un document d’orientation professionnelle afin de l’offrir aux instances concernées.
Pour l’éducation continue,
Combien de jeunes filles et jeunes garçons qui terminent leur étude ou qui ne termine pas leur étude classique qui ne fréquentent jamais une université ou un centre de formation professionnelle. Certains d’entre eux n’ont pas de moyen économique suffisant, certains d’autres veulent rentrer directement à l’université pour être agronome, ingénieur ou docteur etc.
Ils ne visent que ces titres-là, tandis qu’ils peuvent être bien un Technicien Agricole – Technicien en Plomberie – Mécanique Auto - Electricité et en Couture etc. en deux (2) années d’études que cinq (5) années à l’université peut être inachevées pour le manque de moyens économiques.
Il est l’heure pour qu’on puisse laisser nos ignorances, nos préjugés, notre allure prétentieuse afin de promouvoir les métiers technico professionnels.
- Il faut avoir des cours technique dans les lycées et les écoles nationales, des cours techniques pour la jeunesse dans des quartiers populaires, là où ils n’ont pas de moyens ou ils ne sont pas fréquentables.
La moitié des projets de POU AYITI seront en leur faveur, nous sommes à la recherche des bourses d’études complètes et des demi-bourses pour ce qui sont assoiffés le pain de l’éducation afin de divorcer avec le chômage et embrasser une meilleure vie. Sachons bien que nous avons une jeunesse à éduquer, si on occupe la majeure partie de leur temps en les donnant l’éducation, ils ne mêlent points aux actes banditismes encore moins aux délinquances juvéniles, ni vols, ni viols.
Les potentiels sont là, on doit juste les identifier et les faire appliquer.
Prenons le cas des industriels du pays, ils peuvent tous contribuer pour un fond commun afin d’ouvrir des écoles professionnelles de hautes technologies et les bénéficiaires deviendront en deux (2) ou trois (3) ans des techniciens qui vont être embauchés pour servir leur même entreprise. Et les bailleurs/supporteurs de ces écoles profiteront de ces professionnelles sans avoir embauchés des expatriés qui couteraient beaucoup plus chers que la formation de cent (100) jeunes au minimum.
Prenons le cas d’INFOTEP, un centre technico professionnel en République Dominicaine, cette école s’établit sur tout le territoire dominicain et disponible pour tous ceux qui veulent apprendre un métier et même les étrangers ont accès à ces centres de formation professionnelle.
c) L’éducation et la réinsertion sociale des prisonniers
Haïti est membre signataire de l’ONU et de la déclaration de Droit de l’homme.
Il n’y a aucune excuse pour ignorer le droit d’une personne quelques soit son statut. Tout être humain a le droit de jouir les droits fondamentaux. Les prisonniers sont des personnes qui sont en contraventions avec la loi, mais ils restent encore hommes après tout.
La prison doit être un lieu de réorientation pour tous les accusés ou les condamnés. Après avoir purgé une longue période de peine et de correction, l’individu aura la chance de réintégrer la société. Comment va-t-il faire pour intégrer à nouveau cette société sans avoir rien appris pendant cette période d’incarcération, voir comment vivre ces individus-là dans la dignité sans avoir retourné dans les actes qu’on lui est reproché préalablement.
· Nos suggestions et solutions
L’Organisation POU AYITI procédera des visites dans tous les centres d’incarcération du pays afin d’enquêter et de recenser les prisonniers dans un premier temps, et au second lieu de les offrir un programme de formation professionnelle intensive afin qu’ils puissent ré affronter la vie après avoir purgé leur peine.
Promouvoir des jugements ou des suivis de cas en faveur les prisonniers abandonnés qui n’ont jamais présenté au Tribunal Correctionnel ou devant les juges naturels.
On élaborera un projet qui s’intitule ‘’ MWEN CHANJE’’ afin d’orienter ces individus à la société comme un homme nouveau, technicien, un professionnel.
d) Alphabétisation et suivi de formation académique pour les adultes
Appuyer et collaborer au programme d’alphabétisation mis en cours par le MENFP et la Secrétairerie D’Etat de L’Alphabétisation. L’organisation POU AYITI disposera ses membres en volontariat au service des centres d’alphabétisation comme des moniteurs pour aider les intéressés à apprendre à lire et à écrire.
Pour les adultes qui ont laissé l’école depuis bien des années, on va les motiver pour retourner à l’école et promouvoir une forme d’éducation pour eux afin qu’ils continuent à apprendre pour achever leur étude.
UN ARTICLE INTÉRESSANT SUR L'EDUCATION POUR TOUS (EPT)
Le concept d'éducation pour tous (E.P.T.) n'est pas sans ambiguïtés. Il s'agit de définir une sorte de menu commun de base sans que cela implique nécessairement une poursuite généralisée des études les plus longues. Certains pays préconisent une vision réduite et assimilent l'éducation de base à l'éducation primaire ; d'autres y incluent le premier cycle de l'enseignement secondaire ; d'autres y incluent l'éducation pré-primaire (l'Unicef en particulier y accorde une grande priorité) ; d'autres enfin y incluent l'alphabétisation des adultes. Cette multiplicité de conceptions rend difficile toute démarche d'évaluation. La définition pragmatique qui tend à l'emporter aujourd'hui s'en tient à une éducation primaire pour tous.
En outre, aucun indicateur ne donne la probabilité exacte pour un enfant aujourd'hui d'avoir accès à l'enseignement primaire et d'achever le cycle (cinq années d'études sont généralement nécessaires à une alphabétisation durable). Cet indicateur serait obtenu en multipliant le taux net d'accès par le taux de survie à cinq ans, mais aucun des deux n'est aujourd'hui disponible en moyenne pondérée. Les taux de scolarisation brut et net, quant à eux, indiquent la part des enfants scolarisés à un moment donné, mais ni l'un ni l'autre ne sont réellement satisfaisants lorsque les systèmes éducatifs accueillent beaucoup d'élèves en retard, ce qui est le cas dans un certain nombre de pays en voie de développement.
Cet article fait le bilan de l'accès à l'éducation dans le monde au début du troisième millénaire. Il s'attache à montrer les inégalités de scolarisation aux différents niveaux de la hiérarchie scolaire, primaire, secondaire et supérieur. Il n'était pas possible ici de décrire la situation des 203 pays pour lesquels l'U.N.E.S.C.O., principale source d'informations, publie des données ; d'où un regroupement en huit régions, qui a pour effet d'atténuer les inégalités entre cas extrêmes.
(Sources: http://www.universalis.fr/encyclopedie/education)