PAGER - Projet des activités génératrices de revenus (AGR)
Présentation
A travers cette composante, le projet met en œuvre un tissu de micro-entreprises économiques par la promotion d’activités génératrices de revenus soit par des groupements, soit par des individus.
Les actions envisagées sont les suivantes :
§ Soutien, au moyen de crédit, des unités génératrices de revenus dans les domaines suivants :
§ a) production agricole au sens large du terme (y compris la production animale, la pisciculture et l’élevage non conventionnel),
§ b) stockage et commercialisation des intrants et des produits agricoles ;
§ c) transformation des produits agricoles,
§ d) développement de petit artisanat et des métiers, et
§ e) promotion des activités novatrices ;
§ Promotion de techniques d’élevage, de pêche et de production agricole et forestière par le biais d’actions de vulgarisation, appui à la recherche et au développement de nouvelles techniques ;
§ Soutien à l’équipement et au fonctionnement des ONG nationales et autres opérateurs pour l’appui au développement des activités génératrices de revenus ; Sécurité foncière des groupes très vulnérables par le crédit foncier ;
§ Promotion de l’alphabétisation fonctionnelle au profit des responsables et membres des groupements et appui à la formation d’artisans réparateurs pour l’entretien des infrastructures et équipements.
Présentation
A travers cette composante, le projet met en œuvre un tissu de micro-entreprises économiques par la promotion d’activités génératrices de revenus soit par des groupements, soit par des individus.
Les actions envisagées sont les suivantes :
§ Soutien, au moyen de crédit, des unités génératrices de revenus dans les domaines suivants :
§ a) production agricole au sens large du terme (y compris la production animale, la pisciculture et l’élevage non conventionnel),
§ b) stockage et commercialisation des intrants et des produits agricoles ;
§ c) transformation des produits agricoles,
§ d) développement de petit artisanat et des métiers, et
§ e) promotion des activités novatrices ;
§ Promotion de techniques d’élevage, de pêche et de production agricole et forestière par le biais d’actions de vulgarisation, appui à la recherche et au développement de nouvelles techniques ;
§ Soutien à l’équipement et au fonctionnement des ONG nationales et autres opérateurs pour l’appui au développement des activités génératrices de revenus ; Sécurité foncière des groupes très vulnérables par le crédit foncier ;
§ Promotion de l’alphabétisation fonctionnelle au profit des responsables et membres des groupements et appui à la formation d’artisans réparateurs pour l’entretien des infrastructures et équipements.
PLAN D’ACTION
1- ENFANCE
Aucun enfant n’est né par sa propre volonté, c’est un innocent qui commence à vivre dans un nouveau monde après sa naissance.
La protection de l’enfance est l’une des priorités qui est prioritaire pour nous (POU AYITI).
Notre objectif est de:
a) Identifier des enfants qui n’ont pas (Acte de Naissance – Registre d’Archives).
Sans moindre ignorance, on peut constater qu’en plein du 21e Siècle, en Haïti on trouve encore des personnes qui n’obtiennent pas d’un acte de naissance ou d’un registre d’archive voir une carte d’identification Nationale.
· Solution à apporter
On procèdera des recensements en partenariat avec Archives Nationales, Institution de Bien-être Social, Office National d’Identification et avec d’autres instances qui travaillent sur ce domaine afin de collecter des données pour enregistrer toutes les personnes qui ne possèdent pas un registre d’archives. On va prioriser les bénéficiaires des zones ou communes les plus éloignées du pays. De ce fait, ce projet va couvrir tout le territoire national.
b) Eduquer tous les enfants du pays :
Pou Ayiti est dévouée pour l’éducation dans le pays, conjointement avec la politique éducative de la constitution. Une éducation sans faille, d’où tous les enfants ont le droit d’aller à l’école confortablement et reçoivent le pain de l’instruction. En Haïti, le taux d’analphabétisme est trop élevé. Est ce qu’on peut parler de technologie si on n’est encore instruire.
· Nos suggestions et solutions
On procédera un recensement tous les 10e mois de l’année afin d’identifier tous les enfants qui ne fréquente pas un établissement scolaire pour les faire inscrire aux programmes de l’éducation gratuite mis en leur disposition par l’Etat et/ou demander des bourses d’études pour eux aux instances concernées.
Accompagner les parents, rechercher et identifier toutes les instances de subvention afin d’informer aux parents ou de canaliser la subvention par les moyens fiables de l’organisation POU AYITI et ses partenaires. Gérer et repartir en bonne condition les biens/matériels recueillis pour l’éducation.
c) Accompagner les enfants (les parents envers les enfants | les enfants envers les parents)
A grand étonnement en Haïti au cœur du XXIe Siècle, on peut trouver des enfants en domesticités, des enfants aux travaux forcés, des enfants violés par des proches ou des alliés proches, des enfants sans éducations ni instructions, des enfants à travers les rues, des enfants traumatisés, des enfants délaissés par les pères et être à charge de leur maman, des enfants orphelins qui s’exposent à la quémande du quotidien. Malgré tout, ils sont tous innocents de leur sort. Souvent on prononce ce refrain en Haïti ‘’timoun jodi..granmoun demen’’ avec tant d’ignorance, on oublie toujours si les étapes d’un être complet comprend : l’enfance, l’adolescence – jeunes et adultes au lendemain. Contrairement, on dit ’’timoun jodi, jèn demen’’. Quel est le travail à faire ? Comment serait-elle la jeunesse haïtienne ? Quelle orientation qu’on puisse donner aux enfants et aux jeunes d’aujourd’hui afin qu’ils puissent vraiment la relève de demain ? Président, Sénateur, Docteur, Ingénieur…..j’en passe.
· Nos suggestions et solutions
Remarquablement en Haïti on peut constater les tempéraments des parents envers leur enfant. Ils sont très austère envers leur propre enfant que dirais-je pour les enfants d’autrui (restavèk yo). La problématique n’est autre que la communication entre les parents et les enfants et les enfants envers les parents, l’interaction ou l’échange des opinions entre les pairs.
La Déclaration officielle du Droit de l’homme et Droit des Enfants a priorisée les opinions de tous.
Donc, l’enfant a besoin un accompagnement confortable et un environnement sain afin d’être mieux s’épanoui et disposé à recevoir l’instruction ou l’éducation qu’on veut lui offrir.
Dans cette optique, l’organisation POU AYITI veut offrir toutes ses ressources afin de protéger les enfants contre toutes les malversations qui empêchent leur épanouissement et leur liberté.
- On compte de mettre en place des cellules de formation dans les quartiers populaires et dans les quartiers aisés afin de donner des modules de formations éducatives en séances de porte à porte et/ou en atelier sur l’éducation des parents ou des personnes cibles envers les enfants.
- On compte à collecter des doléances et les acheminer aux instances appropriées à ces faits pour des suivis de cas.
- Superviser les maisons là il y a des enfants en domesticités, chez ma tante, chez tonton etc. ; afin de les rappeler aux obligations de la Loi envers ces enfants : loisirs – santé - éducation etc.
- Orienter des enfants de rue vers des villages d’accueil du pays, éviter les aux mœurs du quotidien, vols, viols, alcool et drogues, pédophilie ou la prostitution forcée.
- Avoir d’accès aux villages d’accueil afin d’inspecter les modes de vies des enfants et le comportement des responsables envers les sujets.
- Avoir des entrevues individuelles avec les enfants qui sont en domesticités.
- Promouvoir le programme psychosocial et développement personnel pour les enfants des établissements scolaires ou des villages d’accueil.
- Former des jardinières et/ou des professeurs suivants les comportements à exercer en provenance des enfants qu’ils instruisissent.
- Faire des propositions de loi ou de plaidoirie en faveur des enfants qui deviennent adulte en domesticité, ceux ou celles qui ont vécu plus de dix (10) à quinze (15) années chez un proche sans avoir rien réalisé pour le futur de leur vie. Cette loi doit avoir en son contenu le dédommagement et la réparation totale en faveur de la victime.
- Créer des centres de réinsertion sociale pour les jeunes mamans ou des mères précoces. Promouvoir des séances de sensibilisations pour des jeunes, adolescentes, et les adultes qui sont en préparation à être parents. Prendre des initiatives pour des activités psychosociales.
- Former des parents sur l’Education Sexuelle de l’enfant afin de préparer son adolescence et l’étape de la puberté. Demander aux parents d’utiliser une communication à l’amiable avec l’enfant afin d’éviter la grossesse précoce et les IST. Aider les enfants à mesurer leur liberté depuis son adolescence et respecter leur opinion sans lui laisser tout faire à son propre gré.
2- EDUCATION
Une culture c'est l'ensemble des formes acquises de comportement d'un groupe d'individus unis par une tradition commune, transmise par l'éducation.
Connaissant que l'éducation que l'on donne d'ordinaire aux gens est un second amour-propre qu'on leur inspire. De ce fait, on droit prioriser l’éducation sous toute forme parce que l’éducation est une affaire de tous, tout être avoir accompli l’âge d’utiliser leur compréhension doit franchir la barrière du savoir, quelques soit sa race, sa couleur ou son identité.
Notre objectif est de:
a) Promouvoir l’éducation pour tous sans distinction ni préjugée
Il paraît très flouant l’éducation en Haïti, c’est une affaire noble. Ici, l’accès à l’éducation est l’affaire du plus capable économiquement, et le reste s’accroche aux Collèges Petits Démêlés (petites écoles sans infrastructures ni professeurs qualifiés). Mezi lajanw mezi wangaw dit-il un proverbe créole, si vous avez de l’argent votre enfant fréquentera un établissement scolaire précieux et spacieux, digne, confortable et agréable et il reçoit une éducation de classe. Ce dernier est devenu automatiquement prétentieux envers les autres écoliers qui ne fréquentent pas de grandes écoles.
Si on constate bien, en Haïti on a beaucoup d’établissement scolaire national ou privé mais chacun a adopté son propre programme de fonctionnement. Que dit-il le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) ? Rien peut-être !
Aux évaluations des examens officiels, le MENFP est le seul à décider aux choix des examens pour les écoliers qui vont subir les épreuves officiels de fin d’études. Comment voulions nous que les résultats de ces examens ne soient pas catastrophiques si chaque écolier a reçu une formation différente et le choix des examens sont identiques et obligatoires à tous? Bref !
· Nos suggestions et solutions
Que l’Etat analyse et constate sa faiblesse au niveau de l’éducation qu’il donne aux enfants si vraiment on veut avoir des résultats escomptés à la formation des écoliers/étudiants et aux examens officiels.
Que l’Etat envoie des superviseurs sérieux à la supervision des établissements scolaires sur tout le territoire du pays afin d’enquêter sur les modules et les programmes de formations que ces établissements repartissent. Du même coup, qu’Il organise des séances de recyclage pour les professeurs et les directeurs d’écoles de ces zones d’où la compétence est faible.
Que l’Etat rédiger un prospectus pour toutes les écoles d’Haïti, afin qu’elles puissent avoir un seul programme. Si on respecte ces prérogatives, certainement les résultats de fin d’année pourront améliorer.
- Qu’est-ce que tout cela dit à l’organisation POU AYITI?
Avant même de nous prononcer sur ce fait, on peut conseiller d’abord les administrateurs étatiques concernés à utiliser des ressources internes (étudiants stagiaires de l’Ecole Normale Sup. et de la Faculté des Sciences Humaines) pour freiner ce mécontentement aux résultats des examens officiels du pays. On peut les utiliser comme des suppléants aux directions des écoles publiques et/ou privés.
- Notre travaille dans l’amélioration de l’éducation en Haïti est axé sur trois (3) point :
Premièrement :
Promouvoir la formation continue des professeurs sur des méthodes adaptées à un bon enseignement suivant les théoriciens du nouveau millénaire, Piaget, Bloom etc. pour ne pas citer que ces deux. Etablir une relation entre notre organisation avec l’INFP – MENFP afin de nous faciliter et/ou subventionner ce programme de formation des formateurs. Et augmenter les agents de supervision ou les inspecteurs afin que ce programme de formation puisse toucher toutes les écoles du pays.
Deuxièmement :
POU AYITI élaborera des projets pour qu’on puisse avoir au moins un (1) ou deux (2) laboratoires informatiques dans chaque école et une bibliothèque soit virtuelle permettant la recherche aux technologies nouvelles et aux inventions de notre ère.
Troisièmement :
POU AYITI élaborera des projets de cantines scolaires en partenariats avec les instances nationales ou internationales concernées afin d’acheminer un plat chaud par jour pour les écoliers/étudiants. Et dans certaines écoles, on peut offrir des Resto-Ecoles afin que les écoliers/étudiants puissent acheter à meilleur prix. Pourquoi tout cela ? C’est tout simple, l’écolier/l’étudiant ne peut pas s’assoir pendant plusieurs heures de cours en écoutant avec attention les profs et en participant activement dans les cours pour ne pas avoir restauré, comment va-t-il faire pour mémoriser toutes ces séances.
b) Orientation professionnelle et Education continue
On est tous pas né pour être médecin, docteur, ingénieur, professeur, comptable etc. En Haïti assez souvent ce sont les parents qui choisissent un métier ou une carrière universitaire pour leur enfant. Parfois le sujet ne peut même pas opiner sur le choix que les parents lui fassent, tout cela arrive par la faute de nos établissements scolaires ou du Ministère Education Nationale. Aucun établissement scolaire en Haïti ne vise pas ce grave problème qu’occasionnait des diplômés mécontents par qu’ils n’aiment pas vraiment la carrière qu’ils étudient.
Si on applique l’orientation professionnelle des étudiants/écoliers d’Haïti, on aura des cadres compétents dans nos institutions, donc ils travaillent avec aisance et amour pour leur métier.
POU AYITI travaillera sur la planification d’un document d’orientation professionnelle afin de l’offrir aux instances concernées.
Pour l’éducation continue,
Combien de jeunes filles et jeunes garçons qui terminent leur étude ou qui ne termine pas leur étude classique qui ne fréquentent jamais une université ou un centre de formation professionnelle. Certains d’entre eux n’ont pas de moyen économique suffisant, certains d’autres veulent rentrer directement à l’université pour être agronome, ingénieur ou docteur etc.
Ils ne visent que ces titres-là, tandis qu’ils peuvent être bien un Technicien Agricole – Technicien en Plomberie – Mécanique Auto - Electricité et en Couture etc. en deux (2) années d’études que cinq (5) années à l’université peut être inachevées pour le manque de moyens économiques.
Il est l’heure pour qu’on puisse laisser nos ignorances, nos préjugés, notre allure prétentieuse afin de promouvoir les métiers technico professionnels.
- Il faut avoir des cours technique dans les lycées et les écoles nationales, des cours techniques pour la jeunesse dans des quartiers populaires, là où ils n’ont pas de moyens ou ils ne sont pas fréquentables.
La moitié des projets de POU AYITI seront en leur faveur, nous sommes à la recherche des bourses d’études complètes et des demi-bourses pour ce qui sont assoiffés le pain de l’éducation afin de divorcer avec le chômage et embrasser une meilleure vie. Sachons bien que nous avons une jeunesse à éduquer, si on occupe la majeure partie de leur temps en les donnant l’éducation, ils ne mêlent points aux actes banditismes encore moins aux délinquances juvéniles, ni vols, ni viols.
Les potentiels sont là, on doit juste les identifier et les faire appliquer.
Prenons le cas des industriels du pays, ils peuvent tous contribuer pour un fond commun afin d’ouvrir des écoles professionnelles de hautes technologies et les bénéficiaires deviendront en deux (2) ou trois (3) ans des techniciens qui vont être embauchés pour servir leur même entreprise. Et les bailleurs/supporteurs de ces écoles profiteront de ces professionnelles sans avoir embauchés des expatriés qui couteraient beaucoup plus chers que la formation de cent (100) jeunes au minimum.
Prenons le cas d’INFOTEP, un centre technico professionnel en République Dominicaine, cette école s’établit sur tout le territoire dominicain et disponible pour tous ceux qui veulent apprendre un métier et même les étrangers ont accès à ces centres de formation professionnelle.
c) L’éducation et la réinsertion sociale des prisonniers
Haïti est membre signataire de l’ONU et de la déclaration de Droit de l’homme.
Il n’y a aucune excuse pour ignorer le droit d’une personne quelques soit son statut. Tout être humain a le droit de jouir les droits fondamentaux. Les prisonniers sont des personnes qui sont en contraventions avec la loi, mais ils restent encore hommes après tout.
La prison doit être un lieu de réorientation pour tous les accusés ou les condamnés. Après avoir purgé une longue période de peine et de correction, l’individu aura la chance de réintégrer la société. Comment va-t-il faire pour intégrer à nouveau cette société sans avoir rien appris pendant cette période d’incarcération, voir comment vivre ces individus-là dans la dignité sans avoir retourné dans les actes qu’on lui est reproché préalablement.
· Nos suggestions et solutions
L’Organisation POU AYITI procédera des visites dans tous les centres d’incarcération du pays afin d’enquêter et de recenser les prisonniers dans un premier temps, et au second lieu de les offrir un programme de formation professionnelle intensive afin qu’ils puissent ré affronter la vie après avoir purgé leur peine.
Promouvoir des jugements ou des suivis de cas en faveur les prisonniers abandonnés qui n’ont jamais présenté au Tribunal Correctionnel ou devant les juges naturels.
On élaborera un projet qui s’intitule ‘’ MWEN CHANJE’’ afin d’orienter ces individus à la société comme un homme nouveau, technicien, un professionnel.
d) Alphabétisation et suivi de formation académique pour les adultes
Appuyer et collaborer au programme d’alphabétisation mis en cours par le MENFP et la Secrétairerie D’Etat de L’Alphabétisation. L’organisation POU AYITI disposera ses membres en volontariat au service des centres d’alphabétisation comme des moniteurs pour aider les intéressés à apprendre à lire et à écrire.
Pour les adultes qui ont laissé l’école depuis bien des années, on va les motiver pour retourner à l’école et promouvoir une forme d’éducation pour eux afin qu’ils continuent à apprendre pour achever leur étude.
1- ENFANCE
Aucun enfant n’est né par sa propre volonté, c’est un innocent qui commence à vivre dans un nouveau monde après sa naissance.
La protection de l’enfance est l’une des priorités qui est prioritaire pour nous (POU AYITI).
Notre objectif est de:
a) Identifier des enfants qui n’ont pas (Acte de Naissance – Registre d’Archives).
Sans moindre ignorance, on peut constater qu’en plein du 21e Siècle, en Haïti on trouve encore des personnes qui n’obtiennent pas d’un acte de naissance ou d’un registre d’archive voir une carte d’identification Nationale.
· Solution à apporter
On procèdera des recensements en partenariat avec Archives Nationales, Institution de Bien-être Social, Office National d’Identification et avec d’autres instances qui travaillent sur ce domaine afin de collecter des données pour enregistrer toutes les personnes qui ne possèdent pas un registre d’archives. On va prioriser les bénéficiaires des zones ou communes les plus éloignées du pays. De ce fait, ce projet va couvrir tout le territoire national.
b) Eduquer tous les enfants du pays :
Pou Ayiti est dévouée pour l’éducation dans le pays, conjointement avec la politique éducative de la constitution. Une éducation sans faille, d’où tous les enfants ont le droit d’aller à l’école confortablement et reçoivent le pain de l’instruction. En Haïti, le taux d’analphabétisme est trop élevé. Est ce qu’on peut parler de technologie si on n’est encore instruire.
· Nos suggestions et solutions
On procédera un recensement tous les 10e mois de l’année afin d’identifier tous les enfants qui ne fréquente pas un établissement scolaire pour les faire inscrire aux programmes de l’éducation gratuite mis en leur disposition par l’Etat et/ou demander des bourses d’études pour eux aux instances concernées.
Accompagner les parents, rechercher et identifier toutes les instances de subvention afin d’informer aux parents ou de canaliser la subvention par les moyens fiables de l’organisation POU AYITI et ses partenaires. Gérer et repartir en bonne condition les biens/matériels recueillis pour l’éducation.
c) Accompagner les enfants (les parents envers les enfants | les enfants envers les parents)
A grand étonnement en Haïti au cœur du XXIe Siècle, on peut trouver des enfants en domesticités, des enfants aux travaux forcés, des enfants violés par des proches ou des alliés proches, des enfants sans éducations ni instructions, des enfants à travers les rues, des enfants traumatisés, des enfants délaissés par les pères et être à charge de leur maman, des enfants orphelins qui s’exposent à la quémande du quotidien. Malgré tout, ils sont tous innocents de leur sort. Souvent on prononce ce refrain en Haïti ‘’timoun jodi..granmoun demen’’ avec tant d’ignorance, on oublie toujours si les étapes d’un être complet comprend : l’enfance, l’adolescence – jeunes et adultes au lendemain. Contrairement, on dit ’’timoun jodi, jèn demen’’. Quel est le travail à faire ? Comment serait-elle la jeunesse haïtienne ? Quelle orientation qu’on puisse donner aux enfants et aux jeunes d’aujourd’hui afin qu’ils puissent vraiment la relève de demain ? Président, Sénateur, Docteur, Ingénieur…..j’en passe.
· Nos suggestions et solutions
Remarquablement en Haïti on peut constater les tempéraments des parents envers leur enfant. Ils sont très austère envers leur propre enfant que dirais-je pour les enfants d’autrui (restavèk yo). La problématique n’est autre que la communication entre les parents et les enfants et les enfants envers les parents, l’interaction ou l’échange des opinions entre les pairs.
La Déclaration officielle du Droit de l’homme et Droit des Enfants a priorisée les opinions de tous.
Donc, l’enfant a besoin un accompagnement confortable et un environnement sain afin d’être mieux s’épanoui et disposé à recevoir l’instruction ou l’éducation qu’on veut lui offrir.
Dans cette optique, l’organisation POU AYITI veut offrir toutes ses ressources afin de protéger les enfants contre toutes les malversations qui empêchent leur épanouissement et leur liberté.
- On compte de mettre en place des cellules de formation dans les quartiers populaires et dans les quartiers aisés afin de donner des modules de formations éducatives en séances de porte à porte et/ou en atelier sur l’éducation des parents ou des personnes cibles envers les enfants.
- On compte à collecter des doléances et les acheminer aux instances appropriées à ces faits pour des suivis de cas.
- Superviser les maisons là il y a des enfants en domesticités, chez ma tante, chez tonton etc. ; afin de les rappeler aux obligations de la Loi envers ces enfants : loisirs – santé - éducation etc.
- Orienter des enfants de rue vers des villages d’accueil du pays, éviter les aux mœurs du quotidien, vols, viols, alcool et drogues, pédophilie ou la prostitution forcée.
- Avoir d’accès aux villages d’accueil afin d’inspecter les modes de vies des enfants et le comportement des responsables envers les sujets.
- Avoir des entrevues individuelles avec les enfants qui sont en domesticités.
- Promouvoir le programme psychosocial et développement personnel pour les enfants des établissements scolaires ou des villages d’accueil.
- Former des jardinières et/ou des professeurs suivants les comportements à exercer en provenance des enfants qu’ils instruisissent.
- Faire des propositions de loi ou de plaidoirie en faveur des enfants qui deviennent adulte en domesticité, ceux ou celles qui ont vécu plus de dix (10) à quinze (15) années chez un proche sans avoir rien réalisé pour le futur de leur vie. Cette loi doit avoir en son contenu le dédommagement et la réparation totale en faveur de la victime.
- Créer des centres de réinsertion sociale pour les jeunes mamans ou des mères précoces. Promouvoir des séances de sensibilisations pour des jeunes, adolescentes, et les adultes qui sont en préparation à être parents. Prendre des initiatives pour des activités psychosociales.
- Former des parents sur l’Education Sexuelle de l’enfant afin de préparer son adolescence et l’étape de la puberté. Demander aux parents d’utiliser une communication à l’amiable avec l’enfant afin d’éviter la grossesse précoce et les IST. Aider les enfants à mesurer leur liberté depuis son adolescence et respecter leur opinion sans lui laisser tout faire à son propre gré.
2- EDUCATION
Une culture c'est l'ensemble des formes acquises de comportement d'un groupe d'individus unis par une tradition commune, transmise par l'éducation.
Connaissant que l'éducation que l'on donne d'ordinaire aux gens est un second amour-propre qu'on leur inspire. De ce fait, on droit prioriser l’éducation sous toute forme parce que l’éducation est une affaire de tous, tout être avoir accompli l’âge d’utiliser leur compréhension doit franchir la barrière du savoir, quelques soit sa race, sa couleur ou son identité.
Notre objectif est de:
a) Promouvoir l’éducation pour tous sans distinction ni préjugée
Il paraît très flouant l’éducation en Haïti, c’est une affaire noble. Ici, l’accès à l’éducation est l’affaire du plus capable économiquement, et le reste s’accroche aux Collèges Petits Démêlés (petites écoles sans infrastructures ni professeurs qualifiés). Mezi lajanw mezi wangaw dit-il un proverbe créole, si vous avez de l’argent votre enfant fréquentera un établissement scolaire précieux et spacieux, digne, confortable et agréable et il reçoit une éducation de classe. Ce dernier est devenu automatiquement prétentieux envers les autres écoliers qui ne fréquentent pas de grandes écoles.
Si on constate bien, en Haïti on a beaucoup d’établissement scolaire national ou privé mais chacun a adopté son propre programme de fonctionnement. Que dit-il le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) ? Rien peut-être !
Aux évaluations des examens officiels, le MENFP est le seul à décider aux choix des examens pour les écoliers qui vont subir les épreuves officiels de fin d’études. Comment voulions nous que les résultats de ces examens ne soient pas catastrophiques si chaque écolier a reçu une formation différente et le choix des examens sont identiques et obligatoires à tous? Bref !
· Nos suggestions et solutions
Que l’Etat analyse et constate sa faiblesse au niveau de l’éducation qu’il donne aux enfants si vraiment on veut avoir des résultats escomptés à la formation des écoliers/étudiants et aux examens officiels.
Que l’Etat envoie des superviseurs sérieux à la supervision des établissements scolaires sur tout le territoire du pays afin d’enquêter sur les modules et les programmes de formations que ces établissements repartissent. Du même coup, qu’Il organise des séances de recyclage pour les professeurs et les directeurs d’écoles de ces zones d’où la compétence est faible.
Que l’Etat rédiger un prospectus pour toutes les écoles d’Haïti, afin qu’elles puissent avoir un seul programme. Si on respecte ces prérogatives, certainement les résultats de fin d’année pourront améliorer.
- Qu’est-ce que tout cela dit à l’organisation POU AYITI?
Avant même de nous prononcer sur ce fait, on peut conseiller d’abord les administrateurs étatiques concernés à utiliser des ressources internes (étudiants stagiaires de l’Ecole Normale Sup. et de la Faculté des Sciences Humaines) pour freiner ce mécontentement aux résultats des examens officiels du pays. On peut les utiliser comme des suppléants aux directions des écoles publiques et/ou privés.
- Notre travaille dans l’amélioration de l’éducation en Haïti est axé sur trois (3) point :
Premièrement :
Promouvoir la formation continue des professeurs sur des méthodes adaptées à un bon enseignement suivant les théoriciens du nouveau millénaire, Piaget, Bloom etc. pour ne pas citer que ces deux. Etablir une relation entre notre organisation avec l’INFP – MENFP afin de nous faciliter et/ou subventionner ce programme de formation des formateurs. Et augmenter les agents de supervision ou les inspecteurs afin que ce programme de formation puisse toucher toutes les écoles du pays.
Deuxièmement :
POU AYITI élaborera des projets pour qu’on puisse avoir au moins un (1) ou deux (2) laboratoires informatiques dans chaque école et une bibliothèque soit virtuelle permettant la recherche aux technologies nouvelles et aux inventions de notre ère.
Troisièmement :
POU AYITI élaborera des projets de cantines scolaires en partenariats avec les instances nationales ou internationales concernées afin d’acheminer un plat chaud par jour pour les écoliers/étudiants. Et dans certaines écoles, on peut offrir des Resto-Ecoles afin que les écoliers/étudiants puissent acheter à meilleur prix. Pourquoi tout cela ? C’est tout simple, l’écolier/l’étudiant ne peut pas s’assoir pendant plusieurs heures de cours en écoutant avec attention les profs et en participant activement dans les cours pour ne pas avoir restauré, comment va-t-il faire pour mémoriser toutes ces séances.
b) Orientation professionnelle et Education continue
On est tous pas né pour être médecin, docteur, ingénieur, professeur, comptable etc. En Haïti assez souvent ce sont les parents qui choisissent un métier ou une carrière universitaire pour leur enfant. Parfois le sujet ne peut même pas opiner sur le choix que les parents lui fassent, tout cela arrive par la faute de nos établissements scolaires ou du Ministère Education Nationale. Aucun établissement scolaire en Haïti ne vise pas ce grave problème qu’occasionnait des diplômés mécontents par qu’ils n’aiment pas vraiment la carrière qu’ils étudient.
Si on applique l’orientation professionnelle des étudiants/écoliers d’Haïti, on aura des cadres compétents dans nos institutions, donc ils travaillent avec aisance et amour pour leur métier.
POU AYITI travaillera sur la planification d’un document d’orientation professionnelle afin de l’offrir aux instances concernées.
Pour l’éducation continue,
Combien de jeunes filles et jeunes garçons qui terminent leur étude ou qui ne termine pas leur étude classique qui ne fréquentent jamais une université ou un centre de formation professionnelle. Certains d’entre eux n’ont pas de moyen économique suffisant, certains d’autres veulent rentrer directement à l’université pour être agronome, ingénieur ou docteur etc.
Ils ne visent que ces titres-là, tandis qu’ils peuvent être bien un Technicien Agricole – Technicien en Plomberie – Mécanique Auto - Electricité et en Couture etc. en deux (2) années d’études que cinq (5) années à l’université peut être inachevées pour le manque de moyens économiques.
Il est l’heure pour qu’on puisse laisser nos ignorances, nos préjugés, notre allure prétentieuse afin de promouvoir les métiers technico professionnels.
- Il faut avoir des cours technique dans les lycées et les écoles nationales, des cours techniques pour la jeunesse dans des quartiers populaires, là où ils n’ont pas de moyens ou ils ne sont pas fréquentables.
La moitié des projets de POU AYITI seront en leur faveur, nous sommes à la recherche des bourses d’études complètes et des demi-bourses pour ce qui sont assoiffés le pain de l’éducation afin de divorcer avec le chômage et embrasser une meilleure vie. Sachons bien que nous avons une jeunesse à éduquer, si on occupe la majeure partie de leur temps en les donnant l’éducation, ils ne mêlent points aux actes banditismes encore moins aux délinquances juvéniles, ni vols, ni viols.
Les potentiels sont là, on doit juste les identifier et les faire appliquer.
Prenons le cas des industriels du pays, ils peuvent tous contribuer pour un fond commun afin d’ouvrir des écoles professionnelles de hautes technologies et les bénéficiaires deviendront en deux (2) ou trois (3) ans des techniciens qui vont être embauchés pour servir leur même entreprise. Et les bailleurs/supporteurs de ces écoles profiteront de ces professionnelles sans avoir embauchés des expatriés qui couteraient beaucoup plus chers que la formation de cent (100) jeunes au minimum.
Prenons le cas d’INFOTEP, un centre technico professionnel en République Dominicaine, cette école s’établit sur tout le territoire dominicain et disponible pour tous ceux qui veulent apprendre un métier et même les étrangers ont accès à ces centres de formation professionnelle.
c) L’éducation et la réinsertion sociale des prisonniers
Haïti est membre signataire de l’ONU et de la déclaration de Droit de l’homme.
Il n’y a aucune excuse pour ignorer le droit d’une personne quelques soit son statut. Tout être humain a le droit de jouir les droits fondamentaux. Les prisonniers sont des personnes qui sont en contraventions avec la loi, mais ils restent encore hommes après tout.
La prison doit être un lieu de réorientation pour tous les accusés ou les condamnés. Après avoir purgé une longue période de peine et de correction, l’individu aura la chance de réintégrer la société. Comment va-t-il faire pour intégrer à nouveau cette société sans avoir rien appris pendant cette période d’incarcération, voir comment vivre ces individus-là dans la dignité sans avoir retourné dans les actes qu’on lui est reproché préalablement.
· Nos suggestions et solutions
L’Organisation POU AYITI procédera des visites dans tous les centres d’incarcération du pays afin d’enquêter et de recenser les prisonniers dans un premier temps, et au second lieu de les offrir un programme de formation professionnelle intensive afin qu’ils puissent ré affronter la vie après avoir purgé leur peine.
Promouvoir des jugements ou des suivis de cas en faveur les prisonniers abandonnés qui n’ont jamais présenté au Tribunal Correctionnel ou devant les juges naturels.
On élaborera un projet qui s’intitule ‘’ MWEN CHANJE’’ afin d’orienter ces individus à la société comme un homme nouveau, technicien, un professionnel.
d) Alphabétisation et suivi de formation académique pour les adultes
Appuyer et collaborer au programme d’alphabétisation mis en cours par le MENFP et la Secrétairerie D’Etat de L’Alphabétisation. L’organisation POU AYITI disposera ses membres en volontariat au service des centres d’alphabétisation comme des moniteurs pour aider les intéressés à apprendre à lire et à écrire.
Pour les adultes qui ont laissé l’école depuis bien des années, on va les motiver pour retourner à l’école et promouvoir une forme d’éducation pour eux afin qu’ils continuent à apprendre pour achever leur étude.